Le concept de protection repose sur la sensibilisation des collaborateurs, des bénévoles et des volontaires à ce thème, précise le communiqué. L’instrument central de la gestion des risques est un code de conduite auquel tous s’engagent. Des mesures correspondantes sont déjà prévues pour le début de l’année 2025.
Le concept n’est pas un effort unique, mais comprend des formations continues régulières et une culture vivante de l’erreur et du feedback. En outre, des pourcentages de postes suffisants ont été créés pour les personnes de contact et les services d’alerte internes et externes.
Si un cas devait se produire, il y aurait une gestion claire des cas et des procédures définies, selon le communiqué. Jusqu’à présent, il existait déjà des concepts et les manquements relevant du droit pénal étaient systématiquement signalés aux autorités de poursuite pénale de l’Etat.
Le Synode a voté un crédit d’engagement pour des dépenses uniques de 145’000 francs. A cela s’ajouteraient des dépenses récurrentes de 36’800 francs. Selon le communiqué, un poste à 25% sera créé pour la direction et le suivi du projet.