Les Caring Communities font partie d’un mouvement social avec différents acteurs de la société civile, des soins, de la socioculture, du travail communautaire, de la diaconie sociale, des Compassionate Cities et autres, qui s’engagent pour la cohésion sociale, peut-on lire sur le site Internet du réseau Caring Communities.
L’avenir met à l’épreuve, notamment la crise climatique, la polarisation entre riches et pauvres, les mouvements de fuite mondiaux ainsi que les changements massifs de la structure démographique. Selon le réseau, ces tensions et ces défis exigent de nouvelles approches.
Les Caring Communities montrent une approche tournée vers l’avenir dans le sens d’une société juste et durable. L’objectif est de créer une société dans laquelle le bien commun est au centre des préoccupations, poursuit le communiqué. Pour ce faire, on s’oriente vers des thèses communes qui ont été élaborées par le groupe de travail du réseau Caring Communities.
Les Caring Communities aspirent à une bonne vie pour tous, de la naissance à la fin de vie, selon l’une des thèses. Elles s’engagent solidairement pour des conditions de vie équitables pour tous et pour une société qui prend soin d’elle. Elles se basent sur l’idée d’un soutien et d’un soin mutuels dans une communauté qui repose sur l’inclusion et la participation de tous.
Les Caring Communities relient et forment le travail de soin dans de multiples contextes et le rendent visible, poursuit le communiqué. Elles offrent des espaces d’expérimentation pour développer et tester de nouvelles voies et formes de soins. Elles encouragent l’échange et la collaboration afin d’intégrer les différentes expériences, capacités et ressources de toutes les personnes et d’en tirer profit.
Enfin, les Caring Communities exigent des conditions cadres et des ressources pour une culture de la sollicitude ainsi que son ancrage structurel. Cela nécessite une discussion avec les milieux politiques, économiques et sociaux et leur disposition à s’adapter.
